

Dans l’univers de Jm Collell, le métal devient peau, lumière et silence.
La maille, patiemment découpée à la main couches après couches, se transforme en un voile vibrant où le regard prend corps.
Chaque œuvre naît d’un jeu subtil entre ombre et transparence, entre matière froide et émotion brûlante.
Sous la lumière, le visage apparaît comme une révélation — fragile, mouvante, presque spirituelle.
Jm Collell ne sculpte pas seulement le métal : il sculpte la présence, l’instant suspendu où l’âme affleure.